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Romans de Lise Marcy
18 janvier 2018

Pour l'amour de Robin extrait, lien, chroniques

1.

Cassandra

12 ans plus tard.

 

— Chéri on en a déjà parlé. Il est hors de question que tu restes seul à la maison.

— Pourquoi ne restes-tu pas avec moi alors ? J’en ai marre moi d’être avec des gens qui s’en fichent complètement de moi, maman. Ils sont vieux en plus.

— Si je ne vais pas travailler comment on mangera ?

Il me scrute avec de gros yeux. Je me rapproche de lui. Je me rends compte qu’il a besoin d’être rassuré. Depuis un an que l’on a emménagé à Sonora et six ans que son père l’a abandonné, il se raccroche à moi. Moi, je n’ai pas le choix. Je dois travailler pour subvenir à nos besoins. Dix nounous se sont succédé. Aucune n’a tenu plus de deux mois.

— Et si tu choisissais la prochaine nounou avec moi ?

— Ah oui. Comme ça, je prendrai une femme jeune qui s’intéresse à moi.

Je lui ébouriffe les cheveux. Nous rigolons de cette petite marque d’affection. Mon fils est un adorable petit monstre.

— Les entretiens commencent dans une heure. Et si tu allais faire tes devoirs

— D’accord.

Il traîne des pieds mais il s’exécute. L’idée de pouvoir choisir sa nounou lui plaît.

Je vais préparer des cookies. Un des seuls plats que je maîtrise avec les pancakes.

Une heure plus tard, la sonnette retentit. C’est l’heure, je n’ai même pas encore ouvert la porte que Robin est déjà à mes côtés. Souriant. Il lui manque une dent. Cela n’enlève rien à sa beauté.

Il ouvre et après les salutations d’usage, la première candidate nous suit dans le salon.

D’après son CV, elle a quarante ans. Une petite femme robuste. Elle est blonde aux yeux marron. Elle n’a pas d’enfants. Elle semble avoir des idées très arrêtées sur l’éducation et sur mon fils.

— Tu es un très beau garçon mais tu es bien trop enrobé. Je vais te cuisiner des plats diététiques pour que tu perdes du poids.

Robin est honteux.

Elle fait carrément flipper cette femme. C’est sûr, nous ne l’embaucherons pas. Elle manque de tact. Elle aurait pu se la jouer plus subtile vis-à-vis de lui.

— Vous parlez à un enfant de neuf ans, vous en êtes consciente ?

–– Et alors. Il faut les responsabiliser très jeune…

Lorsqu’elle s’en va Robin me dit :

— Ouf, j’ai cru qu’elle ne partirait jamais. Rassure-moi maman, on ne va pas la prendre, hein ?

— Certainement pas !

Il soupire, rassuré.

 

La deuxième candidate, semble un brin excentrique. A sa tenue, je sais déjà qu’il est hors de question de l’embaucher. Elle a des piercings partout, ne doit pas avoir plus de vingt-deux ans et n’a aucune expérience avec les enfants. Ce n’est même pas la peine !

La troisième n’a pas plus d’intérêt. Je vous épargne l’entretien. Pourvu que la dernière fasse l’affaire sinon dans trois jours quand je reprendrai le travail, je me retrouverai embêtée pour garder mon fils.

Nous n’avons pas vu les vacances passer.

Nous avons enfin pu aménager notre maison comme nous le voulions.

J’ai eu la chance d’être embauchée aux urgences à l’hôpital régional de Sonora.

Après mon internat, j’ai postulé à une vingtaine d’hôpitaux. Seuls deux m’ont donné une réponse favorable. J’ai choisi de m’installer ici car Karelle et Sofiane s’y était installés quelques années plus tôt. Mon amie me manquait même si nous nous parlions souvent au téléphone. Ce n’était plus la même chose. J’ai vu cette opportunité comme un signe. Travailler toutes les deux dans le même hôpital. C’était une aubaine.

Nous avons visité les lieux et nous avons été conquis. Tout est à proximité dans une petite ville.

Je vis maintenant à plus d’une heure et demie de Sacramento. Je n’ai plus cette peur de croiser mes parents dans la rue. Je ne les ai d’ailleurs que très rarement vus en neuf ans et lorsque cela arrivait je filais vite pour être sûre de ne pas avoir à les affronter.

J’ai pu acheter une petite maison pour un prix raisonnable.

On frappe. Robin comme à son habitude lorsqu’il est en bas, va ouvrir. Je suis dans le salon, j’attends. Je lève la tête et mon regard croise celui d’un homme. HOMME !!!!! Que fait-il là ?

— Bonjour, j’ai été envoyé par l’agence pour le poste de nourrice auprès de votre fils ?

C’est une blague ???

Il me fait un sourire magnifique. Cet homme est splendide ! Je le détaille de la tête au pied. Un bon mètre quatre-vingt pour quatre-vingt kilos. Il sait mettre en avant ses atouts. Son jean moule ses cuisses musclées. Ce polo à manches courtes laisse voir des bras d’une musculature parfaite. Ses yeux d’un bleu glacier feraient fondre tous les icebergs du monde et pas que ! Ses cheveux noirs de jais contrastent avec la clarté de ses yeux ! Il a une peau légèrement halée. Et ses dents sont parfaitement alignées et blanches ! Je ne savais pas que des hommes aussi éblouissants existaient dans ma ville. Pincez-moi, je rêve. J’ai chaud. On pourrait croire que je suis en rut.

— Maman ?

Je ne suis pas cohérente. Je ne comprends pas. Un homme qui plus est beau comme un Dieu, mais que fait-il chez moi ?

Avant que je réponde, il se tourne vers Robin.

— Enchanté Robin. Je m’appelle Alan. Quel âge as-tu ?

— Salut ! J’ai neuf ans.

— Ouahh, mais tu es grand pour ton jeune âge. Dis-moi ce que tu aimes ?

— J’adore manger.

— Et le sport ?

— Ça se voit non que je n’aime pas ça ?

Il a l’air vexé. De quoi je me mêle ! Ça recommence comme l’autre conne de tout à l’heure.

Robin est un merveilleux enfant. Depuis le départ de son père, il mange plus que de raison. Je m’en veux trop pour l’en empêcher. Le priver alors qu’il est triste de ne plus le voir serait horrible de ma part. Ainsi, il n’a cessé de grossir. Il ne se sent pas bien et ses camarades se moquent de lui. Mais nous n’arrivons pas à trouver de solution pour l’instant. Je ne permettrai pas à cet homme de se moquer de mon fils. Je m’apprête à répliquer lorsqu’il reprend :

— A ton âge, moi aussi, j’avais quelques kilos en trop. Je sais comme ce n’est pas facile. Si tu veux, on fera du sport ensemble. Du moins si ta mère m’engage bien sûr.

— Oh ouais, j’adorerais. Maman, tu entends ça ?

Ses yeux s’illuminent. Bien sûr avec le corps que tu as, tu veux nous faire croire que tu étais gros ? Menteur !

Là, ils se tournent tous deux vers moi. Il est fort le mec. Il s’est mis mon fils dans la poche.

Je ne sais pas quoi dire. Afin de garder une certaine contenance, je sors la première chose qui me vient en tête.

— Mais vous êtes un homme ?

— Euh oui, jusqu’à maintenant je ne m’étais pas posé la question. Vous en doutez ?

Je rougis, morte de honte. Je dois avoir l’air bête sans doute. Robin se tord de rire. Le sourire esquissé par Alan, c’est son prénom d’après ce qu’il vient de dire à mon fils me laisse présager que lui aussi se moque de moi. Bien qu’il soit plus discret que Robin.

— Comment qu’il t’a mouché, maman.

— Jeune homme, je ne t’autorise pas à parler de la sorte.

Le bel inconnu en profite pour me tendre son CV et sa lettre de motivation.

Je sais qu’il ne fera pas l’affaire. Je ne sais pas comment le dire. Je fais mine de consulter son CV et sa lettre de motivation à la recherche d’un moyen rapide de le limoger...

— Vous n’avez aucune expérience avec les enfants ?

— Non. Je dois l’avouer.

–– Monsieur…

Je cherche son nom sur le CV. Je ne peux décemment pas l’appeler par son prénom.

— Alan Boom.

— Monsieur Boom, je crois que…

— Je peux vous poser une question ?

— Bien évidemment.

— Aviez-vous de l’expérience quand vous êtes tombée enceinte ? Comment avez-vous appris ?

— Attendez, vous…

Il a de la repartie le mec.

— Apparemment vous êtes médecin, n’est-ce pas ?

J’acquiesce. Il y a des photos de moi avec ma blouse partout sur le meuble du salon. On ne peut pas les rater.

— Quand vous avez eu votre diplôme, si votre patron ne vous avait pas donné votre chance, comment auriez-vous acquis de l’expérience ? Donc en effet, j’aurais pu vous faire croire que j’avais des enfants ou que j’avais déjà travaillé avec eux. J’ai des cousins qui ont des enfants. Sans doute les seuls enfants que j’ai fréquentés. Votre fils a neuf ans. Pour ma chance, je n’aurai pas de couches à changer ! A part cuisiner, jouer avec lui et l’aider à faire ses devoirs, que demandez-vous à une nounou ?

— Disons que…

Même pas capable de faire une phrase. La honte ! Cet homme me trouble particulièrement. Ça fait trop longtemps que je ne fréquente personne. Il va falloir y remédier, je pense.

— A moins que ce soit le fait que je sois un homme qui vous dérange ? Moi qui pensais qu’il y avait une parité entre les femmes et les hommes. On m’aurait menti toutes ces années ?

Il se fout de moi en plus. Et Robin aussi… Je suis irritée.

— Maman, c’est lui que je veux. Il a l’air trop cool.

— Mon chéri, tu peux nous laisser, s’il te plaît ?

— Mais maman !

— S’il te plaît Robin, fais ce que je t’ai demandé !

Lorsque j’entends sa porte claquer, je repose mes yeux sur le bel Alan. Je lui propose un cookie, que j’ai préparé pour mon fils et pour recevoir les candidats dans de bonnes conditions. Il accepte.

–– Vous avez raison. Je dois vous avouer que vous cumulez pas mal de petites choses qui ne me conviennent pas. Vous n’avez aucune formation ?

–– Non.

–– Comment pourrez-vous aider mon fils ?

— Nous parlons bien d’un garçon de neuf ans, n’est-ce pas ? Je n’ai peut-être pas de diplôme mais cela ne veut pas dire que je suis bête ou que je ne sois pas capable de faire des additions et des soustractions. Ne m’insultez pas madame, s’il vous plaît.

–– Je vous prie de m’excuser. Je ne voulais pas vous vexer.

— Votre fils est adorable.

— Merci. Oui, il l’est.

Je n’ai plus rien à lui dire… Je ne sais d’ailleurs pas quoi ajouter. Une gêne s’installe entre nous.

— Enfin, je saisis que peu importe ce que je vous dirais, vous ne changerez pas d’avis. Je ne vous ferai pas perdre davantage votre temps. Merci pour le cookie, il était délicieux ! Bonne soirée, madame Sanderson !

–– Au revoir, Monsieur Boom. Bon courage dans vos recherches.

–– Inutile de faire semblant de vous intéresser à moi pour vous donner bonne conscience.

–– Pardon ?

–– Oui, vous avez bien compris ! Aucune nounou n’a grâce aux yeux de votre fils d’après ce que m’a appris l’agence. Pour la première fois, il en accepte une. Sous prétexte que je suis un homme, je ne trouve pas grâce aux vôtres ? Vous devriez vous demander si ce n’est pas cela qui manque à votre fils. Un homme à la maison !

–– Il n’a besoin que de moi, sa maman ! Au revoir, monsieur. Nous n’avons plus rien à nous dire.

–– Tout à fait. Au revoir, madame !

Nous nous défions du regard quelques instants et il s’en va. Je suis outrée par ses propos.

A son départ, Robin descend en trombe.

–– Tu m’as promis que je pourrais choisir avec toi.

–– Et c’est vrai.

–– Alors pourquoi tu ne veux pas l’embaucher ? Il a l’air vraiment sympa.

–– Je préfèrerais une femme.

–– Je suis un garçon, maman.

–– Et alors, ça change quoi ?

–– Je pourrai parler de plein de choses avec lui…

–– Va finir tes devoirs. On mange dans une demi-heure.

–– Je les ai finis.

–– Alors va prendre une douche.

Il s’exécute de mauvaise grâce.

 

J’en profite pour appeler Karelle. C’est mon amie. Nous nous connaissons depuis toujours. Une rousse bellissime, grande et fine. Elle a des petites taches de rousseur sur le visage et de magnifiques yeux bleus. Un rien lui va contrairement à moi. Nous étions en maternelle ensemble. Nous n’avons jamais cessé de nous fréquenter, même après que mes parents m’ont flanquée à la porte. J’ai un pincement au cœur, rien que d’y penser.

–– Allô ?

–– Coucou Karelle.

–– Alors, c’est bon ?

–– Non.

–– Zut. Raconte-moi !

–– Figure-toi que les trois premières étaient carrément glauques et le dernier n’a pas d’expérience.

–– Dernier ? Un homme ? Eh bien… Il est comment ?

–– Canon. Mais là n’est pas la question.

–– Ah bon ?

–– Je ne comprends même pas qu’il postule.

Elle n’est même pas choquée.

–– C’est un homme ! lui rappelé-je.

–– Et alors ?

––Et puis, il n’a pas d’expérience avec les enfants.

–– Il faut un MASTER petite enfance, pour gérer un gamin de neuf ans ?

Elle s’y met aussi ???

–– Tu ne m’aides pas, là !

— Qu’en penses Robin ?

–– Il l’adore.

–– Alors qu’il ne le connaît pas ?

–– Quand il est arrivé, il s’est adressé à lui avant de me parler. Il lui a demandé ce qu’il aimait et lui a même proposé de faire du sport ensemble. Il lui a même annoncé que lui aussi était enrobé au même âge.

–– Je crois que tu as trouvé ton homme sans jeu de mot…

–– Ah ! Ah ! Ah ! Et puis, quand je lui ai dit qu’il ne conviendrait pas il a eu un ton condescendant envers moi. Je n’ai pas du tout aimé.

–– C’est ce qu’il vous manque à la maison…

–– Un homme comme nounou ça ne présage rien de bon pour nous. On n’a pas besoin de ça. Bref, notre conversation n’a rien de constructif. Je te rappelle. Je t’embrasse.

–– Embauche-le et mets-le dans ton lit, ça te détendra.

–– Garce.

–– Moi aussi, je t’aime.

Elle aussi se ligue contre moi. Ma meilleure amie ! Elle m’a toujours dit ce qu’elle pensait. Le lendemain après l’annonce de ma grossesse, elle a été plus dure avec moi.

–– Putain, Cassie, tu déconnes là ! Tu te rends compte que tu aurais pu choper une merde ?

–– Je ne pensais pas…

–– Arrête ton baratin, tu as seize ans. Tu bousilles ta vie, là.

–– Je ne compte pas me faire avorter.

–– Je ne t’ai pas dit de faire ça. Tu aurais dû faire attention, c’est ça que je te reproche. Je ne l’ai jamais aimé ton David. Il n’a cessé de te manipuler. Il vient de nous montrer encore une fois comme il a de l’ascendance sur toi.

–– Ça suffit ! C’est déjà bien difficile pour moi.

 

Elle m’a encore engueulée quand j’ai emménagé avec lui. Il est resté deux ans. Au lieu de me dire qu’elle m’avait prévenu, elle a passé des jours et des jours chez moi. Pour m’aider, me soutenir. J’ai vu à ce moment-là comme notre amitié était précieuse. Elle a toujours été là pour moi. Elle n’a encore jamais eu besoin de moi.

Elle est avec Sofiane depuis leurs seize ans aussi. Il est très grand plus d’un mètre quatre-vingt-dix et très mince aussi. Il a les yeux et les cheveux bien noirs. Nous étions tous les trois dans la même classe. Leurs parents ont eu du mal à accepter leur relation. Une famille très musulmane avec une famille très catholique, ça coince. Maintenant, il s’entend super bien avec ses beaux-parents et elle aussi avec sa belle-famille. Aucun des deux n’est vraiment croyant à l’heure d’aujourd’hui. Nous habitions aussi dans le même quartier tous les trois. Ils se voyaient tout le temps mais contrairement à nous, ils faisaient attention.

Ils se sont mariés à dix-huit ans et ont vécu ensemble pendant leurs études. Cela leur avait bien réussi. Ils ont tous les deux eu un poste ici à Sonora, du coup ils avaient déménagé trois ans avant nous. Karelle est maintenant sage-femme et Sofiane est interne. Dans deux ans, il sera chirurgien. Ils ont eu la petite Inès, il y a deux ans. Une merveilleuse petite métisse aux yeux bleus de sa mère mais aux cheveux noirs de son papa.

–– Maman, on mange ?

–– Oui mon chéri.

Robin met la table et nous mangeons devant le journal.

–– J’aimerais vraiment qu’il me garde, maman. C’est la première personne qui s’intéresse à moi. Et avec un peu de chance, ses repas sont meilleurs que les tiens.

Un point pour lui, en effet.

J’ai été étonné qu’il s’intéresse à mon fils. Demain, j’appellerai l’agence pour savoir s’ils ont d’autres profils qui pourraient me correspondre. Sinon, je l’engagerai. Du moins, je ferai un essai.

Lorsque je me couche, mes pensées vont vers Alan Boom. Il faut concéder qu’il est vachement sexy ! Et qu’il a une sacrée répartie, le mec ! Au lit, il doit être à tomber ! Je suis vraiment en manque, Karelle a raison.

–– Maman, j’ai faim.

Je me réveille en sursaut. Je guette l’heure.

–– Chéri, il est sept heures.

–– Oui, mais j’ai faim.

Moi qui aie passé une nuit agitée, je quitte mon lit et vais préparer le petit-déjeuner de mon petit homme. Pas autonome pour un sou.

 

Pour l'amour de Robin

A 16 ans, Cassie est amoureuse et rêve de devenir médecin. Son avenir lui semble tout tracé. Elle est chanceuse, David, son petit ami est un des garçons le plus populaire du lycée. Mais le prince charmant révèle son vrai visage quelques temps plus tard et la qui...

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Pour l'Amour de Robin - Lise Marcy

Cassie est une jeune femme qui recherche une nounou pour son fils. Cet enfant qu'elle a eu à 16 ans est un véritable ange. Malheureusement Cassie a besoin d'aide, car elle travaille comme médecin et ne peut pas être présente à chaque instant de sa vie. Vint Alan, un homme pour ce poste.

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Le roman est nominé

CouvRobinSITE

parmi les 10 romans du prix des Auteurs Inconnus.

Pour l’amour de Robin, catégorie romance - Prix des Auteurs Inconnus

Roman concourant au Prix des Auteurs Inconnus 2017, catégorie romance A 16 ans, Cassie est amoureuse et rêve de devenir médecin. Son avenir lui semble tout tracé. Elle est chanceuse, David, son petit ami est un des garçons le plus populaire du lycée. Mais le prince charmant révèle son vrai visage quelques temps plus tard...

http://graceminlibe.wordpress.com

 

Pour l'amour de Robin de Lise Marcy

A venir Voir la couverture Cassandra 16 ans, tombe enceinte de son petit-ami, David. Après lui avoir annoncé sa grossesse ce dernier met un terme à leur relation. Cassandra, prends la décision de garder son enfant, l'annonçant à ses parents, ces derniers ne la soutiennent pas, la mettant à la porte.

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